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Message de la présidente Il y un an de cela, paraissait le premier numéro de notre revue trimestrielle Women's EDUCATION DES FEMMES. Grâce au dévouement, à l'imagination, à l'ardeur, au travail de notre coordonnatrice et de notre équipe de bénévoles. nous avons pu informer nos lectrices des événements ayant trait à l'éducation des femmes et ce tant au niveau provincial que national. Comme la BANQUE DE RESSOURCES. W.E.F. nous aide à échanger des renseignements et des ressources, tout en contribuant à l'expansion de notre réseau à travers le pays. Nos réseaux se sont affermis à l' échelle régionale et nos liens avec les autres organismes féministes se sont consolides sur le plan national. De plus en plus d'organismes féministes sont. prêts, à partager leurs problèmes et à s'entraider. Le "Système national de réseaux organisationnels des femmes" devient plus fort et plus sûr. Les problèmes traités présentent plus d'envergure et sont davantage reliés les uns aux autres; les ressources humaines et financières sont utilisées au mieux. Les organismes féministes s' unissent pour obtenir des réalisations concrètes. Comme nous l'avons indiqué dans notre numéro précédent, des budgets ridiculement minces ne sauraient suffire. Nous l'avons , répété maintes fois et nous obtenons maintenant des résultats! Les organismes bénévoles peuvent désormais demander une , subvention de jusqu'à 50 000$ pour formuler des propositions, demandant l'aide du Fonds de développement des ressources, pour des programmes de formation destinés aux femmes. C'est ce qu'a annoncé le ministre Lloyd Axworthy, le 27 juin 1983, dans , le cadre des mesures spéciales de la Loi nationale sur la formation, prises pour promouvoir la formation et l'emploi des femmes. Ce même jour, le CCPEF et les déléguées de quatre autres organismes nationaux ont rencontré Judy Erola et Serge Joyal, ministres, pour discuter des problèmes sérieux provoqués par le financement inadéquat des programmes créés par le Secrétariat D'État pour les femmes. Nous avons demandé que soit versé 1$, pour chaque femme canadienne, soit 12,3 millions $, en vue de financer les projets; 3,2., millions $ ne suffisent pas! M. Joyal a Jugé fort raisonnable notre proposition et s'est montré encourageant. Nous avons des entamé des discussions avec les ministres siégeant au Comité des affaires sociales, leur demandant d'approuver notre proposition et, témoignant ainsi du bon-vouloir du gouvernement quant à la promotion du statut de la femme. Sincerèment |
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